Les formations "Réagir face à l'urgence" se réorganisent pour accueillir plus de citoyens

Mardi, 19 septembre, 2017

92% des participants ont apprécié les formations«Nous avons exploité au mieux les données du site d'inscription aux formations et le retour d'expérience des organisateurs pour optimiser les disponibilités jusqu’à la fin de l’année. Notre objectif étant qu’un maximum de Bruxellois puissent participer d'ici la fin de l'année. Et cela tout en restant dans le budget imparti» se réjouit la secrétaire d'Etat à l'Aide médicale urgente et à la lutte contre l'incendie. En accord avec les organisateurs, 250 places supplémentaires peuvent ainsi être proposées.

L’enquête de satisfaction qui est menée après chaque session vient corroborer ce constat de succès. Il faut souligner que ces sondages proposés par Email enregistrent un taux de réponse moyen de 45%, déjà en soi un score exceptionnel.

98,86% des sondés se déclarent enclins à conseiller les formations à leurs amis et entourage. 92.08% ont estimé la formation pertinente.

Les plus jeunes avaient été plus spécifiquement invités à participer, notamment via les mouvements de jeunesse pour lesquels des sessions dédiées ont été programmées. La participation par ce biais a été moins importante jusqu’à présent mais l’été est la saison des camps et des vacances en famille. Nous attendons donc que cette rentrée 2017-2018 soit bien entamée avant de tirer des conclusions.

Ce bémol est tout relatif puisque les jeunes de moins de 30 ans représentent 33% des participants aux formations individuelles, selon le sondage.

Le cabinet de la Secrétaire d’Etat analysera les résultats quantitatifs quant à la participation et les retours qualitatifs de la part des organisateurs et formateurs. La question de la continuation de ces formations sera ainsi envisagée pour 2018.

«Il n’y a pas que les moments de formations, il y a aussi l’effet positif de la campagne et le bouche à oreille pour une prise de conscience de tous les citoyens, tout cela renforce l’esprit civique. La participation de citoyens ainsi mieux préparés à réagir en cas d’accident ou de catastrophe permet d’augmenter nos moyens pour se protéger et pour porter secours à autrui» souligne Cécile Jodogne.