Nous avons connu trop de situations inadmissibles, trop de gaspillages et trop «d’affaires» dans les mandats politiques et publics. Nous avons tous été choqués par ces dérives.

A aucun moment nous n’avons été concernés, chez DéFI, et notre intégrité dans la gestion est aujourd’hui saluée : prospective et prévoyance dans la gestion de l’organisation des pompiers de Bruxelles, dans la réforme des aides aux entreprises, dans la mise en place du nouveau décret et plan de promotion de la santé. Voilà quelques exemples qui me concernent.

Tenir le cap

Jamais dans tous ces domaines on n’a eu une vision qui clarifie autant la gouvernance. Je vous propose de tenir le cap. Travailler en préférant une vision construite et à long terme plutôt que les petits arrangements, c’est ce que je veux continuer à faire pour les cinq années à venir !

Et pour la transparence du fonctionnement de mon cabinet, il en va de même. L'hebdomadaire "Le Vif" titrait il y a peu «Gosuin, Jodogne et Frémault ont livré davantage de renseignements sur leurs cabinets».

Voici quelques propositions pour continuer dans cette direction, et consolider notre façon de faire en politique :

• Diminution du nombre de députés bruxellois de 89 à 49. Il y a trop de députés au Parlement bruxellois et cela engendre des coûts inutiles
• Limitation de l'ensemble des rémunérations des mandataires publics à 150 % de l'indemnité parlementaire, rémunérations professionnelles privées comprises
• Rémunération sur la base de la présence effective, du travail effectué et en fonction des responsabilités assumées et vérifiées
• Diminution du nombre de membres des conseils d’administration
• Limitation des rémunérations dans les organismes publics et parapublics régionaux